Dernière polysomnographie, nouveau traitement
dans 17 mars 2014 at 10 h 06 minEn août dernier, comme chaque année, je me suis rendue à l’hôpital pour passer la nuit sous électrodes pour que les médecins puissent contrôler mon sommeil.
Lors de cet examen sont contrôlés notamment le rythme cardiaque, le rythme respiratoire, les mouvements de jambes (pour les personnes souffrant de SJSR)…
Cette nuit-là, contrairement aux autres années où je dormais étrangement d’un sommeil de bébé, j’ai passé une nuit identique à celles que j’ai lorsque je dors à la maison, en l’occurrence une nuit très médiocre où je me suis réveillée plusieurs fois que ce soit pour me rendre aux toilettes, pour marcher un peu, ou simplement parce que j’avais fait un mauvais rêve. Bref, je me doutais bien que les enregistrements ne seraient pas fameux…
Ca n’a pas loupé car 10 jours plus tard, je recevais un appel de l’hôpital qui me demandait si je pouvais me rendre rapidement à un rendez-vous avec le pneumologue qui me suit. Soit, j’avais pris les devants et avais déjà mon rendez-vous de pris !
J’imaginais déjà ce qu’il allait me dire et me proposer comme traitement, puisque l’année passée déjà, mon pneumologue avait évoqué les apnées du sommeil. Je n’avais pas un index d’apnées trop importants, mais il sortait déjà des normes…
Les quelques jours qui ont séparé cet appel et le rendez-vous m’ont permis de me préparer au traitement qu’il allait me proposer.
Aussi, lorsque mon pneumologue me parla du traitement par PPC (Pression Positive Continue), je n’étais ni surprise, ni embêtée car je savais ce qui m’attendait.
Quelques jours plus tard, la machine était installée sur ma table de nuit, et chaque soir, je revêtais mon masque.
Je n’ai eu aucun mal à m’y faire, contrairement à beaucoup de personne, et en quelques jours, je constatais une différence et une nette amélioration : je ne m’endormais plus sans m’en rendre compte, n’importe où, n’importe quand, et la fatigue était moins pesante.
A part le fait que j’ai dû changer de masque un certain nombre de fois avant de trouver LE masque qui me correspondait (qui ne me faisait pas mal au nez, ni de bleu sur la paupière, qui n’avait pas « de fuite d’air »), la machine ne m’a pas gênée et m’a apporté une amélioration non négligeable.
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