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juil09

La panoplie pour un « bébé propre »

par Didoune dans 9 juillet 2012 at 6 h 28 min
Publié dans :Bavardages de Didoune,Didou et son univers

Certains me diront que l’on commence trop tôt, que Didou, à 18 mois est encore trop jeune, et d’autres, au contraire, penseront que l’on s’y met tardivement !

Les avis sont très divergents au sujet de la propreté chez les tout-petits.

Certains sont d’avis de les « forcer » à être propre, et donc à aller sur le pot ou sur les toilettes, de bonne heure (certains commencent dès 12 mois) et les installent sur le pot après les repas par exemple, car bons nombres d’enfants font leurs besoins après le repas.

D’autres, au contraire, pensent qu’il faut attendre que l’enfant « soit prêt », c’est à dire qu’il sente l’envie de faire pipi ou caca, et qu’il puisse contrôler ses sphincters (définition wikipédia : «  Un sphincter est un muscle circulaire situé autour d’un conduit naturel (tube digestif, vessie, etc.). Sa contraction permet de fermer totalement ou partiellement un orifice ou un conduit du corps. Sa commande peut être volontaire ou automatique « ).

Enfin, certains sont aussi adeptes de l’hygiène naturelle infantile (HNI). Ce concept se base sur la communication entre le bébé et ses parents, dès la naissance : le bébé envoie des signaux à ses parents pour l’informer de son envie de faire pipi ou caca. Il n’y a donc plus besoin de couches. Pour en savoir plus, il suffit de faire une petite recherche sur l’hygiène naturelle infantile, et vous trouverez beaucoup de sites qui vous en parleront.

 

De notre côté, nous n’avons pas cherché à forcer les choses au niveau de la propreté, et même si nous avions déjà un pot à la maison avant la naissance de Didou, c’était tout simplement pour les enfants qui venaient nous rendre visite.

Ceci dit, depuis plusieurs semaines déjà, Didou « s’amuse » à nous faire pipi dessus lorsqu’il est sur la table à langer : nous ouvrons la couche, et là, il se prépare, « pousse », et fait pipi en éclatant de rire ! Du coup, nous nous sommes dit avec Papa Didou qu’il était peut-être temps pour lui d’essayer d’aller sur le pot..

Le plus compliqué est qu’il n’y reste pas longtemps, même avec un livre ou un petit jouet, il faut qu’il reparte à l’assaut de ceci ou cela. Voici le fameux pot acheté « 3 francs 6 sous » en grande surface :

 

Mais au fil de mes recherches, je suis tombée sur un réducteur de toilettes qui m’a conquise !!

Voyez vous même :

 

En dehors de son côté pratique, j’ai beaucoup aimé l’aspect ludique : monter les marches, s’asseoir « comme un grand », la stabilité plutôt bonne. En prime, il y a un petit pot amovible, que l’on peut laisser ou enlever selon les craintes de l’enfant.

Un dernier atout pour ce réducteur à marches, il se plie et se range très facilement, sans prendre de place !!

  

 

Didou l’a d’ailleurs déjà essayé et il a bien aimé !

Pour compléter cette « panoplie », je lui ai pris un réducteur de toilettes tout bête pour les toilettes du haut, et un petit livre à lire quand il est aux toilettes (Papa Didou et moi, nous aimons bien lire quand nous y sommes lol)

Vous le connaissez peut-être déjà :

 

Et voilà, nous sommes fin prêts à tenter cette nouvelle aventure avec Didou.. Ca promet !!

Et vous, comment avez-vous fait avec vos enfants ?

└ Tags: Didou, propreté
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juil07

Coiffure de l’été !

par Didoune dans 7 juillet 2012 at 11 h 27 min
Publié dans :Bavardages de Didoune

[Attention, séance photo ;) ]

Depuis plusieurs années, ça remonte même à l’adolescence il me semble, j’ai les cheveux longs. Très longs, moins longs, carré court, dégradé aux épaules, etc.. De même, suivant les envies, je suis blonde, brune, auburn, noir bleuté, etc..

Mais il y a une chose qui ne change pas, c’est que j’ai toujours chaud à la tête !!! Et y a pas à dire, les cheveux, ça tient encore plus chaud..

Lors de notre voyage de noces en République Dominicaine, j’avais trouvé la parade en me faisant faire des tresses. Voici ce que ça avait donné (en 2007) :

 

 

Cela m’avait beaucoup aidé à supporter la chaleur, et, ça me changeait complètement ! J’avais adoré !!

 

A la naissance de Didou, j’avais les cheveux encore très longs (au milieu du dos) mais plus vraiment le temps de m’en occuper.. L’entretien de ma chevelure était réduit au minimum, lavage et chignon ou queue de cheval, point. Et le pire, c’est que j’avais toujours terriblement chaud, malgré que nous étions en plein hiver !

J’ai donc, avec l’autorisation de mon mari bien entendu, tenté une nouvelle coiffure.. J’ai rasé la nuque, ainsi que les cheveux au-dessus des oreilles. Cela me permettait de réduire la masse de cheveux (et donc moins d’entretien) tout en gardant de la longueur. Cela ne se voyait que lorsque j’attachais mes cheveux.

 

 

J’avais réitéré la coiffure avec les tresses en 2010, durant la grossesse, auprès d’un salon de coiffure afro situé à Orange. Malheureusement, nous n’avions pas pensé à prendre des photos..

 

Et me revoilà parti, ici en Haute-Savoie, à la recherche d’un salon afro, pour s’occuper de ma tête pour l’été.

Avec la chaleur, je me suis dit que ça ne serait pas un luxe que d’avoir la tête un peu plus au frais, et en gros, soit je me faisais tresser la tête, soit je me coupais les cheveux !!

J’ai trouvé mon bonheur à la frontière, plus précisément à Gaillard, au salon MJM Passion Beauté.

La gérante est très gentille, et j’ai pu avoir un rendez-vous dans la semaine qui suivait, le jeudi, puisque c’est le jour où mon Didou est chez la nounou.

Elle m’a conseillé de mettre des rajouts, compte-tenu de la longueur de mes cheveux et pour que les tresses tiennent un peu plus longtemps.

Je suis ouverte, il n’y a pas de problèmes pour moi.. Elle m’annonce une heure pour la pose ! hic ! Je sais qu’elle a l’habitude, c’est son métier, mais tout de même !!

Bref, je prévois un peu plus de temps tout de même, au cas où.. Et j’ai bien fait ! car il n’aura pas fallu moins d’1h30 + 30 minutes de retard pour me poser les rajouts et me tresser ma demi-tête (et oui, je suis toujours rasée ;) )

Ceci dit, je n’ai pas vu le temps passer, entre les conversations que l’on a eu, sa copine qui a passé un bon moment avec nous à « blaguer » et les clientes qui passaient entre temps..

Voici les photos, juste avant :

    

et après :

 

 

  

 

Voilà le résultat ! Et j’aime beaucoup, ça change, ça rafraîchit, bref, j’adore !!!

 

└ Tags: coiffure
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juil06

Le SJSR déclencheur de stress ?

par Didoune dans 6 juillet 2012 at 6 h 34 min
Publié dans :SJSR

… ou l’inverse ?

La question se pose aussi pour la dépression : est-ce le Syndrome des jambes sans repos qui cause la dépression ou la dépression qui déclenche un SJSR ?

Enfin, on peut aussi se demander si la fatigue déclenche le SJSR ou si c’est le SJSR qui cause la fatigue ?

J’ai fait quelques recherches à ce sujet. Pour synthétiser, des études ont été menées dans plusieurs pays (Suisse, Espagne notamment), mais il est difficile de tirer des conclusions.

Ce que l’on sait avec une quasi certitude au sujet des causes du Syndrome des jambes sans repos et que l’on retrouve un peu partout :

« Le syndrome des jambes sans repos est un trouble du système nerveux. Il est listé parmi les troubles du sommeil. 
Le mécanisme de la maladie n’est pas encore élucidé. Un trouble de la transmission au niveau d’un neurotransmetteur appelé DOPAMINE, plus ou moins associé à un déficit ferrique est le plus souvent avancé. 
Il existe :

  • des formes idiopathiques (sans causes reconnues),
  • des formes familiales évoquant une ou des anomalies génétiques,
  • des formes dites secondaires, c’est-à-dire causées par ou associées à des états particuliers : la grossesse, l’insuffisance rénale, le diabète, l’anémie par carence en fer et en vitamines, la polyarthrite rhumatoïde, et certains médicaments : neuroleptiques, antidépresseurs, antihistaminiques, etc. Il est important de les reconnaître et de les traiter. »

Source : www.afsjr.fr

 

« Pour les formes peu gênantes, des conseils hygiéno-diététiques suffisent généralement pour soulager, temporairement, les symptômes : 
• Supprimez tabac, alcool, café.
• Pas de sport intense le soir. 
• Évitez le stress.
• Créez un environnement propice au sommeil.
• Apprenez à effectuer des exercices de relaxation.
• Essayez de dormir régulièrement. »

Source : www.lepetitjournal.com

 

On retrouve, dans bons nombres d’articles sur le sujet, des causes et aggravations des symptômes liées à la dépression, et surtout à la prise d’antidépresseurs, mais aussi à la fatigue et au stress.

Il est recommandé de se reposer le plus possible, mais comment faire quand on ne peut pas s’asseoir ou s’allonger ?

De même, il faut éviter les sources de stress et d’angoisse, mais tous les malades sont d’accord pour dire que le début de soirée est angoissant (à cause des douleurs et de la nuit que l’on va passer).

 

Pour la dépression, la recommandation est de ne pas consommer d’antidépresseur.

Un article traite de ce sujet dans la revue médicale suisse n° 79 publiée le 20/09/2006 - Auteur(s) : E. Sforza K. Cervena

Pour  lire l’article en entier, c’est ici. On peut y lire notamment :

« De nombreux études de cohortes de patients psychiatriques ou ayant un SJSR ont souligné l’association entre SJSR, PLMS et pathologie psychiatrique18 et les résultats suggèrent une association entre ces troubles du sommeil et la dépression19 ainsi que l’effet du traitement antidépresseur sur le SJSR. »

« Bien que l’association entre SJSR et traitement antidépresseur soit bien établie, les mécanismes de cette association sont mal connus. « 

« Les incertitudes physiopathologiques entre SJSR et traitement psychiatrique laissent encore de nombreuses zones d’ombre sur l’association SJSR et antidépresseurs, l’apparition du SJSR dépendant du profil pharmacologique de l’antidépresseur mais aussi de la posologie du médicament et de la vulnérabilité individuelle au SJSR. »

« Cependant, le dépistage du SJSR devrait faire partie du bilan de routine chez un patient déprimé, sachant que la présence d’antécédents familiaux et de certains symptômes de SJSR contribue au risque d’apparition de cette pathologie du sommeil sous traitement antidépresseur. Par ailleurs, il faut évoquer un possible SJSR devant une importante fatigue diurne, un ralentissement psychomoteur, une perte de l’élan vital chez un patient insomniaque, les troubles du sommeil du SJSR étant des facteurs synergiques dans l’apparition d’un état dépressif. »

 

On lit les mêmes conclusions  dans un article publié le 23/04/2012 sur www.passionsante.be

« Les chercheurs espagnols ont recoupé ces données avec les diagnostics de dépression majeure et mineure. Résultat (publié dans la revue « International Journal of Geriatric Psychiatry ») : une association nette a été établie entre la dépression et le SJSR.
Comme l’explique le Dr Anne Bourdieu, du « Journal international de médecine » (JIM), «le syndrome des jambes sans repos est sous-diagnostiqué par les praticiens, mais peut également ne pas être reconnu par les patients. Les liens entre SJSR et dépression sont complexes », avec les troubles du sommeil comme composante plausible.
En tout état de cause, poursuit-elle, « le SJSR devrait être recherché chez les patients dépressifs » ; sachant néanmoins que les observations collectées durant cette étude ne peuvent pas être extrapolées à la population générale. »

 

On peut donc dire que dépression et SJSR peuvent être liés, que l’un peut induire l’autre, et inversement.

On constate aussi souvent que le stress engendre des douleurs voir des crises de SJSR.

Il est difficile pour les médecins (pour ceux qui veulent bien essayer..) de trouver le « bon dosage » entre médicaments, antidépresseurs et perturbations de la vie du patient.

 

J’ai remarqué, pour ma part, que dès que le stress montait, pour une raison ou une autre, j’avais des douleurs accrues, une fatigue plus intense.

Je suis sous antidépresseurs depuis 2 mois maintenant, en plus de mon traitement pour le sjsr, et il faut avouer que mes symptômes sont bien maîtrisés aujourd’hui, que les douleurs, bien que présentes, ne sont pas handicapantes comme elles ont pu l’être.

Par contre, malgré la prise d’antidépresseurs, et d’anxiolytiques (à la demande, lorsque je sens que j’en ai « besoin »), dès que l’angoisse ou le stress me prend, mes douleurs aux jambes sont démultipliées..

 

Le plus difficile, pour les médecins, est de devoir soigner au cas par cas, car ce qui va marcher pour moi ne fonctionnera pas forcément pour un autre. De même, la douleur ne sera pas perçue de la même façon chez deux patients.

Si je repars ne serait-ce que 2 ans en arrière, je supportais bien mieux la douleur qu’aujourd’hui, et même des douleurs bien plus fortes et violentes que celles que j’ai maintenant. Aujourd’hui, je ne supporte plus les douleurs un peu au dessus de la moyenne, et dès qu’une crise survient, je crois devenir folle !

 

Pour en revenir au sujet de l’article, on retrouve souvent des patients atteints de dépression ET de SJSR, mais peut-on dire laquelle de ces maladies engendre l’autre ? pour le moment, il n’y a pas de réponse à cela.

La seule certitude que l’on puisse avoir est que le stress, l’angoisse, et le moral au plus bas sont des facteurs aggravant des symptômes de la maladie d’Ekbom. Il faut aussi savoir que malgré les recommandations des neurologues à ne pas prendre d’antidépresseurs lorsqu’on est atteint du syndrome des jambes sans repos, certains antidépresseurs n’interfèrent pas avec le traitement pour le SJSR et n’aggravent pas les symptômes, je peux vous le confirmer au moins à court terme… A voir sur du long terme..

└ Tags: crise, Ekbom, médecin, moral, sjsr
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